Le reveille d'un Jinchuriki blesser.

Pouff ahhh...!

J'ouvrais les yeux dans une pièce qui m'étais inconnu, une pièce toute blanche, moi j'étais a moitier nue dans un lit, un lit avec des drap blanc. Je releva mon buste pour mieu observer la pièce, il y avait deux portes en boit marron, sur ma droite une table de chevet, un pot de fleur dessus. sur la gauche une grand baie vitré, qui donnait vue sur un epait brouillard.

Faut moche dans se coin! Bordel j'suis ou?

Je me leva regarda tout autour de moi, j'étais dans un hôpital 'Putain quesque je fou ici moi >< je ramassa mes affaire, je pouvais pas rester ici, tout en sifflotant je m'habillais. Âpres quelque minute, j'allai devant la fenêtre. J'observais se qui pouvais être vue dans se brouillard.

C'est quoi se village sans soleil? tent mieux je déteste le soleil ! bon faut que je me tire d'ici...

Je m'apprêta a sortir quand la poignet s'enclencha, dévoilant une femme...

T'est qui toi?!

Apres avoir accompagnée, puis rembalée Dan, le nouveau membre, Enkara entra dans l'hopital. Comme elle se promenait, elle neportait pas ses vetements de Kage. Elle ne les aimait pas, et se forcait a les porter seulement lors des reunions importantes. Et encore, il fallait la preparer 2 jours a l'avance. Bref, elle passa la porte d'entrée.

_Bonjour Mizukage.

_Bonjour docteur. Voila, je viens voir l'etranger. Ou est il?

On la conduisit donc a la chambre.

_C'est ici.

Elle hocha la tete en remerciement. Elle sentit la presence de cet homme. Elle frappa 2 coups et entra sans attendre de reponse.

T'es qui toi?!

Elle sourit sous son masque. Decidément, aujourd'hui n'était pas son jour. Deuxième fois qu'on lui montrait peu de respect. Elle detestait cela. Elle alla a la fenetre sans tarder, et la ferma en restant devant celle ci.

_Pour commencer, on se presente toujours le premier, surtout quand on pose la question le premier. Et on dit bonjour aussi. Bonjour. Autrement, je suis la Mizukage. Soit, la gerante de ce village. Et donc comme tout bon Kage, je viens vous rendre visite. Je vois que j'arrive a temps. Un peu plus et vous sautiez comme un idiot par la fenetre. Et ou vouliez vous aller? Dans la brume? Bonne idée pour se perdre non? Vous étes retablis? J'en doute.

Enkara sentait un etrange chakra emaner de lui. Il était fort, surement plus qu'elle. Mais pourquoi ce sentiment? pourquoi cette impression? Elle reflechit un instant.

_Vous étes Jinchuriki?

Mizukage? j'avais la Mizukage face a moi, c'était la meilleur ça, elle me fit un serment et patati et patata.

Moi j'me presente pas! tout le monde me connais, je suis le beau, le puissant, le seduisant, Ninja porteur de Jinchurikki, tu peu aussi m'appeler Maître Hachibi, ou grand et puissant Jinchuriki, enfin comme tu veux quoi!

Je ramassais mon épée a 7 lames, le fixant droit dans les yeux, elle avait de très beau yeux vert, mais je ne voyais pas son visage.

Et me parle pas de politesse, tu vient me parler, tu me montre même pas ton visage... t'est si moche que ça?

Je venais de lui parler avec toute la spontanéité que j'avais en moi, avec un sourire moqueur sur mes lèvres, après tout j'éprouvais rarement du respect pour une personne autre que moi, j'avais jamais respecter personne autre que moi; Et se petit bout de femme qui était largement moins grande que moi, venait de me le reprocher.

tss, biensur que je suis remit, me baladé dans votre contré sa sera comme jouer avec la cervelle de tout vos ANBU un véritable jeux d'enfant!

Mais vraiment, il parlait comme un gosse! Il cherchait les ennuis!!! Enkara bouillonnait en elle, et plus ca aller, plus ca n'allait pas en fait...Le grand et puissant....Elle le laissa finir son baragouinage, avant de reprendre a son tour.

_Bon, te nommer grand couillon serait annoncer la verité trop brutalement. Je me contenterai de t'appeler Hachibi...mais non, c'est trop dangeureux. Je te trouverai un joli nom tu verras.

La, il saisit son arme redoutable, qu'elle avait ordonner de laisser dans la chambre malgre le danger qu'elle representait. Debout devant la kunoichi, il la fixait droit dans les yeux.

Et me parle pas de politesse, tu viens me parler, tu me montres même pas ton visage... t'es si moche que ça?

_Grrr quel chieur! T'as fini de me chercher! Et si cela peut te faire plaisir, oui, je suis moche! Je suis brulée!

Mais pourquoi avait elle sortit cette betise? Peut etre pour qu'il arréte de poser des questions, et que l'idée de voir son visage ne lui vienne pas. Elle trouvait cet homme, qui devait avoir 10 ans de plus qu'elle,soit la 30 éne, bien spontané et casse pied. Elle n'avait pas peur de lui. Loin de la. Il pouvait prendre ses airs de superieur, faire son grand beau fort et musclé, cela ne ferait rien a la kunoichi, aussi tetue qu'une mule. En y repensant, elle se trouvait vraiment petite avec son 1m60 a coté de lui...Mais bon, meme pas peur.

tss, biensur que je suis remit, me baladé dans votre contré sa sera comme jouer avec la cervelle de tout vos ANBU un véritable jeux d'enfant!

_Ben voyons...vous étes dans un village caché, celui de Kiri, pas un moulin ouvert a tous. Et si vous étes fort, c'est seulement grace a Hachibi....alors ne vous prenez pas la tete. Une fois que vous serez sans lui, vous ne serez plus grand chose...

Tout en parlant, elle s'était rapprochée de lui, en pointant son doigt sur son enorme et puissant torse. Au final, elle avait peut etre menti. Il devait tout de meme etre fort au vu de son poitrail fortement musclé. Bref, elle n'avait pas peur, et elle le faisait bien savoir.

Mais t'est tarer dans ta tête, tu veut que je t'écrase!!!! On tutoie pas le puissant Hachibi, je suis l'abeille tueuse, et j'aplatis comme un éléphant !!!

D'un geste vif je rangeais mon arme, et m'approcha d'elle plaçant mes immense main sur ces épaules, et la soulèvent du sol afin que sont visage soit face au mien, je lui souriait a pleine dent.

Kiri c'est tout pourris, je comprend mieux pourquoi vous ete tous blanc, y a pas de soleil, tu devrais venir dans les montagne avec moi ma belle, tu serais toute bronzé! AHAHAHA!

Je la lâchais, âpres tout elle était kage, elle allait retomber sur ces jambes.

Me manque plus jamais de respect, sinon t'aura plus jamais l'occase de parler de ta vie on cherche pas Hachibi, on l'acclame telle une star du hip hop, alors si tu veut pas que je réduise ton village en bouillit pour crapaud, ta intérêt de m'appeler 'Oh grand hachibi, maître des ninja et dieu incontester de tout l'univers'

Je regardais une foi de plus a travers la fenêtre, le brouillard avait laissé place a une pluie battante, c'était quoi se village?! Mais lunette de soleil me servait a que dalle ici tellement c'était moche.

Tss, Heureusement que je suis la pour éclairer se village de ma divine beauté car sans moi moi vous vous seriez déjà suicidé!

Il rangea son arme dans un bruit étrange, et posa ses grosses mains sur les epaules de le jeune femme. Enkara se laissa faire. Il insultait le village de Kiri! Elle bouillonnait encore plus.

Kiri c'est tout pourris, je comprend mieux pourquoi vous ete tous blanc, y a pas de soleil, tu devrais venir dans les montagne avec moi ma belle, tu serais toute bronzé! AHAHAHA!

*Ma belle....ma belle...MA BELLE!!!*

Il la relacha de la haut. Bien entendu, sans difficulté, elle retomba sur ses pieds. Elle remit ses cheveux en arrière et posa ses mains sur ses hanches. Elle ne devait pas l'attaquer. Elle était Kage, et ne devait en aucun pas proviquer de guerre. Mais le voila qu'il recommencait avec ses hsitoires de beau gosse! Il devait avoir des chevilles plus grosses que les fesses d'un elephant! Il se mit a pleuvoir alors, brusquement. Voila longtemps qu'il n'avait pas fait aussi moche. Elle devait le reconnaitre. Puis, ce fut trop pour elle. Elle regardait par le fenetre attendant qu'il finisse son discours ridicule et sans interet. Puis, elle reposa son regard sur lui.

_Tu as fini? Et arrétes de dire des conneries inutiles! Tu n'es qu'un idiot! Et en plus tu es aussi moche que moi! Bougre d'ane! Tu as de la chance d'etre tombé sur Kir! Profite de notre hospitalité au moins! La nourriture est bonne, et pour toi, Kokaku, c'est gratuit pour le moment.

Voila, elle avait trouvé son prenom. Il était venu tout seul, Kokaku....qui voulait dire solitaire. Elle changea de ton, plus dur et plus sec. peut etre aussi plus nerveux.

_ Bien, ceci est un acte qui en aucun cas ne doit compter comme celui d'un Kage. Celui ci, vient de moi, kunoichi. Pas Kage.

A cet instant, prise d'une crise de folie, elle balanca rapidement sa main vers sa joue pour le gifler.

_Je ne suis pas TA BELLE, dit elle en meme temps

Sa main parti après m'avoir donner un surnom étrange, elle ne savait pas se qu'elle faisait, j'arretais sa main d'un simple geste, lui bloquant le poignet par la même occasion, j'approcha mon visage du sien.

Si tu m'appelle Kokatruc... Moi je t'appel ma belle! Mouahahah, on menace pas Hachibi ma jolie... Bon parlons de l'hospitalité, tu va sortir de ma chambre, et revenir avec un bon steak de cheval bien saignant, je commence a avoir grave la dalle, sa sera gentil beauté!

Je lui lâcha la main, et me gratta la joue, puis je replaçais mes lunette, tout ces élément de mon physique qui faisait de moi le plus viril des hommes. je recula d'un pas.

T'est encore la? j'ai faim je t'est dit dépêche toi avent que j'menerve vraiment!

Souriant avec arrogance j'attendais de voir la réaction du Mizukage.

Elle ne devait pas s'emporter, et pourtant, elle l'avait fait. Sa main était partit naturellement. Malheureusement pour elle, elle fut arrétée en plein elan. Elle y était presque! Zut! Il lui bloqua le poignet, avant de rapprocher son visage du sien.

Si tu m'appelle Kokatruc... Moi je t'appel ma belle! Mouahahah, on menace pas Hachibi ma jolie... Bon parlons de l'hospitalité, tu va sortir de ma chambre, et revenir avec un bon steak de cheval bien saignant, je commence a avoir grave la dalle, sa sera gentil beauté!

Apres avoir dit cela, il la lacha.

T'est encore la? j'ai faim je t'est dit dépêche toi avent que j'menerve vraiment!

Bien sur que oui, elle n'allait pas lui servir! Et puis quoi encore. Comme elle n'était pas sur qu'il soit reveillé lorsqu'elle arriverai, elle avait prit avec elle, un livre. Elle plongea alors sa main dans son sac pour le sortir, tout en s'asseyant sur une chaise.

_Je ne suis pas ta bonne. Personne ne l'est d'ailleurs. Tant que tu ne seras pas respectueux, je ne le serais pas non plus. Comme ca, nous irons loin tout les deux.

Elle feuilletait son livre.

Ah, aussi. Sois patient, Kokaku. Ton repas arrivera dans 15 minutes, comme tout le monde dans cet hopital. Tu auras ce qu'on te donnera. Et il me semble que c'est du poisson aujourd'hui. Je reste pour veiller a ce que tu n'agresses pas l'infirmière, toi qui es si brute. Que cela te plaises ou non.

Elle releva les yeux vers lui, au dessus de son bouquin. Elle avait beaucoup de mal a garder son calme. Et cet effort lui demandait un grand controle de soit. Elle le trouvait vraiment bourru. Et le laisser seul avec une infirmière pouvait s'averer dangeureux. Elle se méfiait de lui, car dans ses reactions, il pouvait peut etre se montrer violent. Si il l'était avec elle, cela lui importait peu, elle avait l'habitude avec tout ce qu'elle avait vecu, mais avec les autres, c'était impensable depuis qu'elle était Kage.

Rrrr...!

Comment pouvait-elle me faire attendre? On ne faisait pas attendre Hachibi, personne ne pouvait se permettre une telle chose! j'étais plus que énerver, je m'approcha d'elle très rapidement tapant du point sur la table, faisant vibrer de par mon geste tout l'immeuble, mon visage était tirer par des trait d'énervement.

On me fait pas attendre! Ramène moi un steak, tout de suite!

Soudain, je pris sont livre, lui arrachant des mains avec force, et je le lança avec force a travers la fenêtre, je la fixais dans les yeux ans détourner le regard, mais elle ne me lâchait pas non plus, je lâcha un soupire.

Bon, je croie qu'on n'est parti sur de mauvaise base tout les deux, je sais que je suis pas très sociale!

Soudain, je lui lâchais un sourire inhabituelle, la fixant dans ces deux pupille verte, je lui arrachais sont masque d'un mouvement extrêmement vif, puis sans lui laissé le temps de réagir, je lui déposais un baisé sur les lèvres, un baisé fougueux et passionné, pourquoi j'avais fait ça? Aucune idée, sont arrogance, et le faite qu'elle n'était pas impressionner m'avait exiter... Tout en lâchant ces lèvres, je souriait et tout en riant je dit:

Alors ça fait quoi d'être embrassé par un bogoss comme moi?

Soudain je prêtais plus attention a son visage qui était magnifique, comment pouvait-elle cacher une beauté aussi sauvage derriere un masque?

Eh mais t'est pas un ledron en faite!

Rrrr...! On me fait pas attendre! Ramène moi un steak, tout de suite!

Il grongnait encore. Et en plus, il venait frapper sur la table. Quoi, il venait de lui arracher son livre pour le balancer par la fenetre! Mais c'est pas possible un type comme lui! Enkara se redressa brusquement. Elle n'allait pas se laisser demonter par ce type completement félé! Et dire qu'elle devait le protéger. Etant donné qu'il était porteur d'un demon, elle devait le protéger. Et ben non, il se debrouillerai tout seul! Et voila qu'elle le fixait du regard. Lui en faisait de meme. Aucun d'eux ne voulait lacher prise. Il souoira alors.

Bon, je croie qu'on n'est parti sur de mauvaise base tout les deux, je sais que je suis pas très sociale!

Enkara fut surprise. Le voila qu'il se mettrait a faire des excuses indirectement. Il sourit étrangement. S'il croyait que cela changerait quelque chose pour elle, il se trompait. Elle le trouvait quand meme brute et asociable! En effet! Il ne voulait pas la lacher du regard! Grrr quel rustre! Sans rien voir venir, il arracha vivement le masque qu'elle portait, sans meme qu'elle est le temps de reagir. Elle tendit juste sa main pour tenter de la rattraper, mais elle fut etreinte sauvagement. Elle vit alors le visage de Kokaku, comme elle le nommait, se rapprocher d'elle. Il allait trop vite pour qu'elle puisse l'arréter. Elle avait posé ses mains sur son torse, pour tenter de l'arréter, mais il était trop fort. Elle sentit alors ses levres venir contre les siennes. un baiser plus que fougueux qui l'avait plus que surprise! Elle ne pu rien faire contre cette envie qui avait prit cet homme si soudainement. Lorsqu'il decolla ses levres, elle se sentit soulagée.

Alors ça fait quoi d'être embrassé par un bogoss comme moi? Eh mais t'est pas un ledron en faite!

Hein?! Mais quel idiot! Comment avait-il osé! Elle tenta de le repousser a l'aide de ses bras. Elle se sentait prisonnière et elle detestait cela. Elle avait egalement perdu tout ses moyens! Elle ne savait plus quoi faire, ou regarder, quoi dire que penser. Elle voulait juste partir. Il était le premier a la voir depuis une 10 éne d'années! Et le second homme a l'embrasser! Elle était complétement perdue! Elle gesticulait pour se defaire de lui pour se degager pour faire tout sauf se faire embrasser.

_Lachez moi! mais qu'est ce que vous faites! Vous étes completement fou! Un beau gosse! J'en ai vu des mieux!

Elle voulait cacher son visage. Chaque ninja avait sa faiblesse. Et la sienne, c'était ca. Elle avait peur des hommes, et peur de montrer son visage. Imaginez donc se faire embrasser....

_Ou est mon masque?! OU EST Il!!! Rendez le moi! Je....Je.....ou est il...

La kunoichi cherchait desesperement du regard. Elle ressemblait a une sorte de chat parmi les chiens, meme s'il n'y avait qu'un seul homme... Elle était deboussolée et desemparée.

Sa réaction fut plus que rapide, et même surprenante, je m'attendais a une attente a ma vie, mais au lieu de ça, juste des mot et aucun agressive, peut-être quand faite je lui plaisait bien, cela me fit sourire, je lâchais mon étreinte, voyant la panique monter en elle, mais avent ça je l'embrassais une nouvelle foi, y mentant plus de passion, avent de reculé d'un pas lui tendant le masque.

En tout cas malgré ton Caractère antipathique, tu et vraiment belle...

Je me surpris moi même par cette phrase, il était rare que je complimente quelqu'un, plus que rare, je me retournais, je ne savais pas comment elle réagirais a se second baisé, mais je ne craignais pas pour ma vie.

Bon va peut-être falloir activé l'infirmier, je commence vraiment a avoir les croc!

Je marchais vers mon lit pour mi allonger de tout mon long.

Enkara, toujours perdue, sentit une nouvele fois qu'il l'embrassait. Elle était complétement debousolée! Elle n'entendait presque plus les mots qu'il disait. Mais par contre, elle vit tres vite et tres bien le masque qu'il lui tendait. Elle s'en empara brusquement, lui arrachant presque des mains. Sans tarder, elle le mit sur son visage. Tout redevint presque calme, une fois qu'elle l'eu posé sur elle. Elle s'était mise de dos pour tout remettre en place. Elle se remit donc face a lui pour lui causer.

_Vous....vous n'étes qu'une plaie! Un monstre! Une fois retablis, vous partirez de mon village! Me suis je bien faite comprendre...Je...Je.....pfff Vous....grrrrr!!!!

Enkara se tourna vers la porte d'entrée. Mais alors qu'elle posait la main sur la poignée, celle ci se baissa toute seule. Enkara recula donc. La, une jeune infirmière ouvrit la porte. Elle avait de long cheveux blond, bouclés, qui tombaient en cascade dans son dos. Avec ca, deux grands yeux marron.

_Bonjour Mizukaga.....

_Bonjour Azuka. Tu vas bien? ton stage se passe bien?

_Oh, oui tres bien.

_Donne moi ca, je vais t'en debarrasser.

Avant meme que la jeune infirmière ne puisse dire quoique ce soit, Enkara avait saisit le plateau de nourriture de Kokaku. Elle se serra fermement entre ses doigts, et se tourna vers lui. Elle s'approcha, et prit un petit elan avec ses bras.

*Un bon plateau dans la figure lui fera le plus grand bien! Personne ne me touche, personne ne me regarde,personne....*

Si elle le pouvait, elle l'aurait provoqué en duel le lendemain. Mais elle ne faisait pas le point face au demon a 8 queues. De plus, elle n'arrivait plus a determiner le sentiment qui la parcourait. Peur, colere, haine, tristesse, déboussolée, peut etre tout en fait.

Elle me deblatera toutes sorte d'insulte qu'on me disait déjà depuis des année, et oui j'étais un monstre, et oui j'étais une plaie, j'étais sûrement pire encore, mais j'avais des raison de l'être, des raison que moi seul pouvais comprendre ou connaître, mais tout ces mot me passait au dessus de la tête, je regarda le plafond, sans lui répondre, de toute façon pourquoi lui répondre, les gens comme elle écoutait pas les animaux! Et oui un animal, ces tout se que j'étais pour elle, rien de plus qu'un monstre, un Jinchuriki!

Tss...! Ciao!

Dit-je en la voyant se diriger vers la porte, je ferma les yeux histoire de me reposé un peu, quand soudain j'entendis la voie d'une autre personne, mon plateau était arriver, il était temps, je me redressa, fixant la Mizukage s'approcher de moi, le regard plein de colère, de haine envers le monstre que j'étais, je ne voulais pas la décevoir, je me doutais de se qu'elle allait faire...

Bah dépêche toi, j'ai la dalle moi, ramène se plateau et en vitesse!

Je venais de lui parler sur un ton glacial, sans aucune émotion autre que la méprise pour les mots qu'elle venait de me lancé, mais je continuait de lui sourire avec amusement, un amusement d'une arrogance incroyable...

Enkara entendit les mots de Kokaku.

Bah dépêche toi, j'ai la dalle moi, ramène se plateau et en vitesse!

La goutte de trop! Sans aucune hesitation, elle jeta le plateau au visage de l'homme. Il était allé trop loin.

_Tu n'as qu'a manger par terre, comme un animal! Les personnes qui parlent comme toi, ne peuvent pas avoir de coeur....Puisque tu ne veux pas etre respectueux, et que tu preferes etre un monstre, alors je te concidérerai tel quel! Tu n'as que ce que tu cherches, Kokaku! Et je ne suis pas ton chien! nous sommes EGAUX! Tu le comprends ca ou tu es trop bete pour le comprendre! Grrrr

Mais pourquoi insister...parler a un mur ne changeait rien ...c'était inutile....Elle n'aurait peut etre pas du se comporter ainsi, mais parfois, son coté sauvage, rebel, incontrolable refaisait surface. Elle ne se comportait plus comme un Kage, mais simplement comme elle meme. Elle ne savait meme pas pourquoi il lui avait bondit dessus de cette manière. Et au fond d'elle, elle se doutait qu'elle le reverrait un jour ou l'autre, et plus tot que prevu. Peut eter qu'il viendrait querir son aide pour le protéger? Non, trop de fierté. Et avec cette puissante, qui pourrait il craindre, honnétement? Peut etre qu'il viendrait s'excuser? Trop de fierté aussi, au moins un point qu'ils avaient en commun, bien qu'elle aussi soit.....bref, elle devait trouver le moyende se calmer, et vite, ou alors elle ferait un mort....Kokaku peut etre...

Comme je l'avais prévu, le plateau vola en ma direction, mais a peine avait-il était face a moi qui se divisa en deux parti, mon épée au centre, d'un saut je bondissais a travers les aliments qui volaient du au puissant choc, mon regard était comparable a celui d'une bête, mes geste était vif comme ceux d'un tigre, non d'un serpent, j'étais aussi imprévisible et vif que le plus dangereux des serpent, une des nombreuse lame de mon sabre se plaça sous la gorge du Mizukage, l'autre femme encore présente dans la pièce était pétrifier de peur.

Mais je suis comme on ma toujours traiter, et c'est pas du jours au lendemain que sa va changer... Mais je vais te prouvé que je peut être reconnaissant et je vais t'épargner pour se manque de respect... Maintenant j'aimerais un autre plateau!

Ma voie n'était pas agressif, non au contraire elle montrait comme un respect a la femme qui restait droite sous la menace de ma lame, n'importe qui aurait été pris de panique, mais elle resta la, immobile, continuant a me défier du regard, je rangeais mon arme lentement, montrant mon imposante masse a la puissante Kunoichi face a moi... Elle méritait un certain respect rien que pour n'avoir pas trembler face a moi...

Je vais essayer de me tenir a carreau pour la suite de mon séjour, Mizukage!

J'avais dit ça sur un air de plaisanterie, comme si je me moquais de sont titre, et oui malgré qu'elle portait le titre du plus puissant ninja de sont pays, j'étais sur d'être capable de la tuer, et je savais qu'elle le savait..

Enkara n'avait pas reagit. Le ninja avait litteralement coupé en deux le plateau a l'aide de son impressionnante épée. Il était vif et precis, redoutable et puissant. Elle ne l'avait qu'a peine vu bougé. Mais au lieu de faire quoi que ce soit, ouisqu'elle aurait pu faire quelque chose, elle resta immobile. Meme lorsqu'elle sentit l'épée froide contre sa gorge. Elle était stoique. Totalement. Enkara jeta un oeil a l'infirmière, qui elle était totalement paralysée, mais elle, de peur.

Mais je suis comme on ma toujours traiter, et c'est pas du jours au lendemain que sa va changer... Mais je vais te prouvé que je peut être reconnaissant et je vais t'épargner pour se manque de respect... Maintenant j'aimerais un autre plateau!

Etait il agressif? Non, autoritaire, surement. Mais en meme temps, il y avait autre chose qu'elle n'arrivait pas a determiner.

Je vais essayer de me tenir a carreau pour la suite de mon séjour, Mizukage!

Le mot Mizukage ne sonnait que mal dans sa bouche. Il se moquait eperdument de se role. Il ne connaissait probablement pas les responsabilités. Il avait rangé son arme, montrant plus sa grosse masse musculaire. Decidement, Enkara savait quel genre d'homme c'était. Sans coeur, incapable de comprendre le sens de l'honneur, d'avoir des sentiments autres que la colére ou que la haine. Elle avait l'impression qu'elle lui ressemblait. Elle chasse cette idée de son esprit.

_Je vois que tu me hais plus que je ne t'attire....je me trompe.....?

Et voila qu'elle recommencait a prendre ses airs de mechante fille. Elle detestait se faire marcher sur les pieds. Elle était toute petite a cote de lui. La bicepse devait faire la taille de sa cuisse....ou presque. Il avait un cou puissant, mais en fait, il était tout de muscle puissants... Mais elle ne flechissait pas. Elle s'adressa a l'infirmière, sans bouger de place, sans lacher l'homme du regard.

_Reste-t-il de quoi manger pour notre ote? Il me semble que son plateau a été renversé....par accident...Oh! Azuka! On se ressaisit, ce n'est rien, et tu ne risques rien, je suis la.

_Euh, pardonnez moi, je....je vais tout de suite lui chercher un nouveau plateau.

Elle disparut sans tarder.

_Bien, une fois votre plateau arrivé, nous vous laisserons tranquille. J'espere que vous faites ce que vous dites, et que vous ne crerez aucun ennuis supplémentaires.

Elle devait etre plus intelliegnte, et laisser sa fierte de cote, afin d'eviter qu'il ne s'enerve d'avantage. Parce que si elle n'avait pas peur, ce n'était visiblement pas le cas des autres.

Il et vrai qu'elle était attirante, même très attirent, et contrairement à se qu'elle avait l'air de pensé, je ne la détestait pas, au contraire elle m'amusait, un sourire ironique se dessina sur mes lèvres, sa réaction était drôle, elle aurais pu mourir quelque minute plus tôt et elle se demande si je la détestait plus qu'elle m'attirait? je me décidais a lui répondre.

Ohhh non, tu m'attire bien plus que je te déteste, si sa tenait cas moi je te prendrais sur le lit telle une bête...!

Je souriais continuellement, ne la lâchant plus du regard, m'imaginant des chose plus qu'inconvennu, des chose a faire rougir le pape lui même. Il était même possible que sa se lise sur mon visage.
Elle envoya la femme toujours immobile me rechercher un plateau, je me grattais ma barbiche blanche.

Merci ma jolie, le seigneur Hachibi et content, j'espère qu'elle ne mettra pas longtemps, pour se qui et de me laisser tranquille ta présence ne me gène pas, au contraire il y a longtemps que je n'avait pas parler a quelqu'un possédant un bon niveau, sa me ferais plaisir de conversé avec toi ma belle!

Mon ventre se mit a faire d'étranges bruit se qui témoignait de ma faim, cela me fit rire.

Enkara ne s'attendait pas a ce qu'il reponde a sa question, vu que ce n'était pas vraiment une question. D'ailleurs, elle fut a la fois surprise, et non surprise par ce qu'il avait dit.

Ohhh non, tu m'attire bien plus que je te déteste, si sa tenait cas moi je te prendrais sur le lit telle une bête...!

Telle une bete, ben voyons....elle n'était pas étonnée qu'il donne une telle comparaison. Il continuait de la regarder avec insistance. Elle ne le montrait pas, mais le fait qu'il est cette chose la perturbait beaucoup en realité. Sachant que le lit était juste la....oula...elle ne devait pas le provoquer. Il bougea sa main...ouf, pour gratter sa barbiche toute blanche. Enfin il s'exprima gentiment! Enkara le remarqua tout de suite, et sourit sous son masque. Voila longtemps qu'il n'avait pas parlé avec douceur et calme. un petit bruit de gargouillit se fit soudainement entendre. Pour Enkara, le ventre de l'homme qui ressemblait a un ogre au final, lui arrivait presque a la poitrine... Un vrai titan. Ahhhh Peut était il de mauvais poil a cause de ca, la faim! Il lui tardait que l'infirmire revienne. D'ailleurs, en parlant du loup, elle en voyait la queue.

_A Azuka, enfin. Ce plateau semblait etre au bout du monde.

Enkara se jeta sur la jeune fille pour lui prendre le plateau des mains.

_Je ne suis pas rassurée de le voir ici Maitre Kage...

Elle avait chuchoté ces mots, timide et genée. Enkara se tourna donc vers la grosse brute pour lui jeter un oeil perplexe.

_Tres bien, je vais rester avec lui le temps qu'il s'en aille. Mais si jamais le devoir m'appelle, je ne pourrais pas rester plus longtemps.

Elle qui voulait partir, ne le pouvait pas. Elle devait rassurer les villageois, et faire son boulot. Plateau en main, elle lui tendit calmement cette fois ci. Apres cela, elle irait chercher son livre par la fenetre pour continuer sa lecture pendant qu'il mangerait.

_Tres bien, je vais vous tenir compagnie encore quelque temps.

La Kunoichi n'eu pas le temp de me repondre, l'infirmier entra a taton dans la pièce blanche qui me servait de chambre de repos, je detourna mon regard du Mizukage pour le fixé sur sur 'Azuka' elle semblait toujours effrayer a ma vue, elle frémissait rien quand sentant mes yeux posé sur elle, je souriait avec impatience...

Eh Azuka, heureusement que tu et arriver, sinon je serais venu te chercher histoire que tu me servent d'encas!

Ma phrase avait eu pour effet de lui donné des spasme, se qui me fit rire, elle semblait pas habituer a se genre de comportement, pourtant nous étions a Kiri, le village qui avait la réputation de détenir les ninja les plus cruelle, sa prouvait que aussi cruelle soit les ninja de Kiri rien n'arrivait a la cheville du Grand Hachibi.

Elle avait pris la décision de me surveiller personnellement, cela me fit encore plus sourire j'étais craint au point que le Mizukage en personne se charge de ma surveillance, c'était trop d'honneur. L'infernier quitta la chambre, laissant la Mizukage seul avec moi...

C'est quoi ton petit prénom princesse? Âpres tout si on vient a faire des galipette sur le lit, faudrais que je connaisse au moins le prénom de ma maîtresse!

J'avais sur les genoux le plateau de nourriture, effet j'avais le droit a du poisson, mais quoi de plus normal pour un village qui avait comme première source de richesse la pêche? dalleur je pouvais jugez de la qualité incroyable de leurs produit, car même dans un hôpital, la nourriture était délicieuse. Une question me passa par la tête.

Tient explique moi comment j'ai fini ici!

Enkara n'était pas la par plaisir, mais bien par obligation. Mais pourquoi il fallait que cet homme fasse peur aux infirmière?! Elle aurait preferait rester assise dans son bureau a faire de la paperasse. Quand elle repensait a fait qu'il l'avait embrassée...elle en tremblait. C'est pourquoi, elle s'efforcait de l'oublier. Il prenait plaisir a faire peur a cette pauvre fille...Quel véritable....inomable!

_Baka....soupira-t-elle doucement lorsqu'elle passa par la fenetre pour aller chercher son livre.

En un clin d'oeil, elle était deja la avec l'ouvrage en main. Elle prit placa a une chaise, afin de se plonger dans l'histoire palpitante, qu'elle meme avait ecrite. Et oui, en realité, ce livre venait d'elle. Elle adorait ecrire et lire, et imaginer des grandes histoires. Elle avait donc ecrit un livre, qu'elle relisait afin de corriger les erreurs.

C'est quoi ton petit prénom princesse? Âpres tout si on vient a faire des galipette sur le lit, faudrais que je connaisse au moins le prénom de ma maîtresse!

Elle ne releva meme pas les yeux, et se contenta de lui repondre rapidement.

_Rien ne sert de me donner un nom, vu que tu m'en trouves regulièrement. Tous aussi nuls les uns que les autres certes, mais tu es trop tétu pour t'en passer...je me trompe? Et en plus, je t'interdit de me toucher encore une fois!

Elle était ferme, elle avait plus le sentiment d'etre une nourice plutot qu'autre chose. En tout cas, il donnait l'impression d'aimer la nourriture. C'etait un bon point.

Tient explique moi comment j'ai fini ici!

Aussi curieux qu'elle visiblement. Bon, elle ne pouvait pas lui cacher apres tout, mais elle ne voulait pas lui parler non plus. Elle allait faire cours et simple.

_Avec un s'il te plait j'aimerai d'avantage...Et bien tu es curieux, peut etre fou. Nous t'avons trouvé inconscient dans un endroit perdu, et euh...nous t'avons ramené, et nous nous sommes occupé de toi. Etant donné que tu es.... bref. Pour information, tu es la depuis 12 jours. Et la pauvre jeune fille que tu as agressée de tes mots, s'est chargé de toi, et t'a fait ta toilette!

La, elle releva le regard, comme pour insister sur le dernier mot. Puis, elle revint a son livre.

Les medecins pensent que tu dois rester encore 3jours au moins, pour bien recupérer. C'est a toi de voir. Apres, tu seras libre de repartir. Meme si je prefererai te mettre en prison....chuchota-t-elle a la fin. Tu as d'autres questions?

Elle venait de me refusé de me donner sont nom, je détestais qu'on me réponde pas, mais j'étais un homme de parole, et j'avais promit de me tenir tranquille, se que je fit, je n'insista pas sur sont prénom. Pis elle m'expliquait comment j'avais atterrit ici, 12 jours ?! impossible, quesqui avait pu me mettre dans un telle état? je grogne de nervosité, il fallait que je retrouve cette chose et que je la remette en place><.
La dernière phrase, cette qu'elle avait bien appuyer me fit rire.

Et bah elle et gâter la petite, avec se que l'a nature ma offerte, elle a du en profiter la cochonne, Ahahaah!

Je venais de finir mon assiette quand elle me demandais si j'avais d'autre question, se qui éveilla de suite mon sens de la curiosité.

Ta un homme dans ta vie ma chérie? Ah part moi biensur!

C'était encore une phrase plein de sarcasme, qui n'allait sûrement pas la faire rire, mais moi ça m'amusais. Donc c'était le principal, je me mit tout debout, et regardais par la fenêtre.

Tu pourrait lâcher ton torchons, et me faire visité ta belle cité!

Il n'arrétait pas de rire a chacune des paroles de la kunoichi. Au moins, il était pas difficile de ce coté la. Par contre, ce n'était pas la modestie qui allait l'ettoufer non plus.....Elle avait posé une question de trop "as tu d'autres questions?". De ce fait, il n'arraitait plus d'en poser! Il se leva de son lit, tel un gros lard, pour venir pres de la fenetre. Il avait fini son asiette, comme un grand, malgre le fait qu'il se comportait comme un gosse.

_Bon, pour commencer, la seule personne cochonne ici, c'est toi. Et puis au dire de Azuka...la pauvre elle est venu me chercher, car elle trouvait anormal de ne rien trouver entre tes jambes. Et c'est bien connu que c'est ceux qui parlent le plus, qui en ont le moins. Enfin, du moment que tu sais t'en servir...Moi, je m'em moque. Ensuite, non je n'ai pas d'homme dans ma vie, que des femmes!

En disant cela, elle espérait qu'il n'insisterait pas. Mais bon, elle n'avait pas trop d'espoir au final...

Sache que cet ouvrage n'est pas un torchon! Tu ne sais meme pas lire je pari!

Comment pouvait il dire que c'était un tourchon alors qu'elle se donnait tant de mal a faire vivre l'histoire des chevaliers, ainsi que la jeune guerriere fougueuse heroine! Elle imaginait le monde occidental.

Pour visiter mon village, je dois te faire confiance avant tout. Et pour le moment, tu ne montres que violence et brutalité. Lorsque tu seras plus calme je t'emmenerai peut etre faire un tour. Depuis Kiri te plait? je pensais que tu n'aimais rien....

Elle ne quittais pas son livre, ecrivant parfois dessus pour signaler une erreur de syntaxe. Elle voulait voir s'il était capable de rester calme. Voire s'il pouvait tenir sa parole. Pour ne pas qu'il explose, et quil detruise le village, elle le ferait sortit bien entendu. Mais bon, le faire ramer un peu lui ferait du bien. Dans la vi, on ne pouvait pas avoir tout ce que l'on voulait.

Elle se moquait de moi c'était la meilleur, critiquant ma troisieme jambe, une chose que je ne pouvais pas tolère, je me retourna face a elle et baissais mon froc!

Ta vue ça ma poule, 20 centimètre de pure plaisir.

Faire de telle geste ne me gênait pas le moins du monde, j'étais loin d'être complexer, au contraire sa complexait les autres. puis elle m'indiqua qu'elle préférait les femmes. je m'approcha d'elle après avoir ranger se qui devait l'être, je lui caressa la joue du rêver de la mains, c'était mon premier geste doux envers envers cette femme.

Tu sais ma belle, si tu préfère les femmes, c'est pars que tu ne ma pas encore eu dans ton lit, laisse moi te faire goûter au plaisir charnel avec un vrai mec!

Je lui lâchais un sourire sincère, lui montrant mes magnifique dent, puis je lui rpis sont livre en lisant un morceau.

'Apres avoir remonter la cote Anglaise, je marchais dans se qui semblait être un bois, la végétation dense et verte montrait bien le climat pluvieux de ce pays, marchant dans c'est doit, contant branche qui me barrait le passage, je me dirigeais sur c'est terre inconnu a la recherche d'une ville, espérant que les gens connaîtraient au moins le romain, je ne savais pas qu'elle jour nous étions, ni même qu'elle année on se trouvaient, le temps était gris et humide, la pluie allait sens doute bientôt tombé, j'étais vêtu d'une peau de lion qui me couvrait la moitié du haut du corps, un d'une genre de jupe romaine que portait les soldats, accrocher a ma taille un ceinturons qui maintenais un fourreau pour ranger mon épée, cela faisait plusieurs heures que j'avançais dans cette foret sans savoir ou mes jambe me conduirait, la fin me tiraillait et la soif m'asséchait, il fallait que je me nourrisse si je ne voulais pas mourir de faim, et étant dans un foret il me restait une solution, la chasse!

Guettant tout autour de moi un potentiel animal je repéra au loin dans la végétation dense un cerf qui broutait son herbe sans se méfier du danger, mais celui-ci était loin de moi et le moindre bruit l'aurait sans doute effrayer, étant muni que d'une épée je ne pouvais l'attaquer a distance, il fallait que je l'obliger a s'approcher de moi, je m'asseyais quelque minute afin de réfléchir a la meilleur approche, regardant le sol je vu un caillou et une idée me vint, je ramassa cette pierre et visa, non pas le cerf et plus loin, afin de crée un bruit a l'opposé de ma position et de le faire courir vers moi, les chance que sa marche était faible, mais je devait essayer, je visa et de ma grande force et habiliter le caillou parti a toute vitesse heurtant un arbre a l'opposé de ma position, alertant le cerf qui paniqua et se mit a sautiller et courir vers moi, mon plan marchait a la perfection...

Patientant jusqu'au dernier moment pour être sur de l'avoir, je me maintenais immobile, me guidant au son de c'est sabot sur la terre fraîchement sèche, d'un geste de mains diagonale, un bruit sourd de chute se fit entendre, d'un coup d'épée le cerf se retrouvait la tête en moins...

Mangeant sa chère fraîche, du au manque de source de cuisson je me nourrissais de sa viande et m'abreuvait de son sang, telle un barbare que j'étais, tout cela me revitalisait, retrouvant ma orme de jeune homme il était temps pour moi de reprendre la marche.

Cette foret qui de l'extérieure ne paraissait pas immense était en faite d'une taille énorme et je l'avouais, j'étais perdu au milieu de tout c'est arbres, j'espérais bientôt en sortir et trouver un village ou on me fournirais asile, nourriture et repos, plus un bon bain, car moi même j'avais du mal a supporter ma propre odeur, soudain je m'arrêta, alerter par mes sens éveiller, j'avais entendu des son, des pas derrière moi, la main sur le manche de mon épée, il étaient 4, 4hommes de grande taille, continuant ma marche comme si ne rien n'était, j'avais sans doute été suivit a cause du cadavre du cerf, je ne savais si les homme était armer, mais j'allais bientôt le savoir, entendant un bruit vif et sourd de course je me retourna rapidement, épée en main, contrant se qui était un coup de hache, les hommes était des brigand, et voulais me faire les poches, manque de chance je ne possédais rien sur moi hormis mon épée, contrant un deuxième coups, je fit un geste rotatif sur la gauche avec mon épée lui tranchant un bras qui remuait encore une foi le sol atteint, son crie arriva très tôt a mes oreilles un crie de douleur atroce, maintenant fermement le manche j'abrega c'est souffrance sous les yeux écarquiller de c'est compagnons.

Profitant de leurs mouvement de panique et de leur paralysie de peur, je me mit a courir, pas pour fuir mais pour attaquer, même a trois contre un, je restait un saigneur de guerre, le première hommes para mon premier et second coup d'épée, quand un autre vin lui porter secours, me bâtant comme je pouvais contre les deux hommes je mit pris un léger coup d'épée sur le flan droit, me faisant quelque peu saigner, mais suite a cette affrontement acharner, les deux hommes perdirent la vie, il ne restait plus qu'un homme debout, face a moi, il était muni d'un arc, il le tendit vers moi prés a m'envoyer une flèche au poindre des mes mouvement, mais contre toute attente je me mit a courir vers lui arme au poing, au moment ou la fléchè quittait son arc pour se planter dans mon bras, mon épée quittait ma main pour se planter dans son cœur.

J'étais de nouveau seul, bléssé au milieu de cette foret, 4 cadavre autour de moi, mon épée pleine de sang, maintenant mon flan de ma main je marchais espérant que la vie ne me quitte pas une seconde foi a cause de c'est briguant, se n'était pas digne d'un homme telle que moi, se n'était pas digne d'un maître de guerre, marchant quelque minute je n'effondrais, seul le néant était autour de moi, le vide total.

Je posais sur la table apres lecture, j'avais sûrement du l'impressionner, j'étais très bon lecteur, toujours la fixant droit dans les yeux, elle semblait plutôt choquer, et moi j'avais été plutôt impressionner, c'était une lecture qui m'aurais sûrement plus.

Bon pour se qui et de la confiance, j'ai dit que je me tenais a carreau, je suis peut-être une bête, mais j'ai qu'une parole!

Je me gratta la tête dans une pensé plutôt tordu sur les épisode érotique que je rêvais de pratiquer avec elle.

Le voila qu'il baissait son pantalon. Enfin, Enkara s'en moquait puisqu'elle lisait. Qu'il fasse 20, 17 ou 15, cela lui importait peu. Au moment ou il posa sa main sur elle, elle s'efforca de garder son calme. Elle donna un coup, un revers pour le virer. D'une main elle tenait son livre, que bientot, elle se vit arracher. Ah, il l'enervait! Elle se releva rapidement, tentant de reprendre ce qu'il lui appartenait. Il lisait.

_Vas tu me rendre ca, je te prie!

Rien a faire, il continuait de lire a voix haute, et en plus de cela, tres bien. Cherchait il a l'impressionner? Mais que cherchait il a la fin?

_Bon que veux tu? Tu es agancant a force! Tes lectures ne m'impressionnent pas! Et pourquoi tu continu a me regarder dans les yeux de cette manière! Tu t'imagines des trucs? Et bien imagines les biens, car ils resteront a jamais de simples reves...

Elle mentait. Elle le voyait un peu inculte et illettré, mais au final, il savait lire. En ce qui concernait l'histoire du lit, elle ne mentait surement pas. Elle ne se jeterait pas dans les bras d'une brute sans coeur qui ne la voyait que comme un bout de viande! Quelle abruti de croire qu'il pouvait lui passer dessus! D'ailleurs, aucun n'y était encore parvenu....

Bon, je vais te faire faire ta promenade journalière! Ou veux tu aller?

Enkara se preparait. Masque, mit, gants enfilés, livre, rangé....bien. Elle devait le faire sortir sinon, il allait encore lui bondir dessus comme un sauvage! Et celle fois ci, elle reagirait mal, voire tres mal. Elle s'apprétait a passer la porte.

Elle s'enrvait pour le moindre de mes gestes, et elle insinuait que j'étais un animal, alors que elle même ne gardait pas son sang froid, âpres lui avoir rendu sont livre, elle repris un peu sont calme tout en me faisant la moral, me disant que je l'impressionnait pas, et que je l'aurais jamais dans mon lit, et patati et patata, un ramassis de connerie sorti tout droit de la bouche de cette bonne femme. Je pensais que le faite qu'elle soit devenu Kage lui avait hotter les pieds de sur terre et je contais bien l'y faire redescendre en lui montrant la dur réalité de la vie.

Je veut te prouver que tu te goure sur mon conte, pour les yeux, je sais pas il m'attise, il m'attise d'une passion que si je venait a ne pas contrôler me pousserais a te faire l'amour ici tout de suite et même si je le faisait, je suis pas sur que tu puisse me le reprocher car pour toi je ne suis l'égal que des plus bestial animaux et peu ton reprocher a un animal ces pulsion sauvage? Je croie pas!

Pour se qui et de la visite guider comment tu veut que je te disent ou je veut allez, je connais pas cette ville, amène moi ou les animaux vont...

Cette dernière phrase sarcastique avait été dit sur un ton d'amertume, je ferma les yeux a travers mes lunette, tout en suivant la MMizukage qui allait bientôt franchir le seuil de la porte.